Stéphane Armand, Murielle Bachelier, Smaël Bouaici, Carine Chenaux
05/06/2015
(c) Le Bar à Bulles
Vous rêvez de verdure, de calme, de paisibilité, et d’une bonne bouffe mais vous ne pouvez pas quitter le béton parisien? Alors dirigez vous vers Pigalle. Perché sur le toit terrasse de la Machine du Moulin Rouge, le Bar à Bulles vous ouvre les portes d’un jardin paisible où érables japonais entrelancent les rosiers grimpants et les jenets. A l’ombre de leur vert apaisant, on s’installe sur un transat, une chaise longue, ou à une table sous un parasol, pour déguster les plats soignés du chef David Le Quellec. Du brunch au diner, en passant par des apéritifs à base de tapas originales. La carte proposée, à la fois rafraichissante et exigeante, séduira les papilles des grands et des petits.
90, Bd de Clichy, 75018, Paris / Metro Blanche
Le Rooftop du Point Ephémère
(c) Le Point Ephémère
En plus d’être situé en bordure du Canal St Martin, le bar/salle de concerts dispose à présent d’un rooftop sur lequel qui le veut pourra se détendre sur les chaises longues à disposition, boire une pinte bien fraïche, ou encore assister à un cours de yoga jusqu’au coucher du soleil. Le légère brise qui circule au bord du canal fait de ce lieu un véritable refuge pour ceux qui fuient la chaleur.
200 Quai de Valmy, 75010, Paris / Metro Jaurès ou Louis Blanc
Paname Brewing Company
(c) Panam Brewing Company
Un nouveau bar-restaurant vient de voir le jour sur le quai de la Loire face au bassin de la Villette : le Paname Brewing Company. Cet endroit dédié à la bière artisanale vous invite dans une ambiance new yorkaise habité par du mobilier en bois brut et en ferraille. Amateurs ou non, c’est l’occasion de déguster des bières de qualité dont trois qui sont brassées sur place. Bonus du lieu, si la terrasse est pleine, pas de panique, allez vous installer, bière à la main au bord du canal.
41, quai de la Loire, 75019, Paris / Metro Jaurès ou Ourcq
Le Pavillon des canaux
(c) Le Pavillon des canaux
« Vous attabler au Pavillon, c’est tourner les pages d’une sorte de courrier international du web, en chair et en bois. C’est remplacer un share par une discussion inspirante, un like par un vrai coup de coeur, un tweet par un moment convivial. » Vous l’avez compris, le Pavillon des Canaux est avant tout un lieu de rencontre. Idéalement situé sur les bords du Canal de l’Ourcq, il fait à la fois office de restaurant, de café, et de lieu de travail. On y vient pour consommer, mais surtout pour s’informer, partager, et travailler dans un cadre et une ambiance inédite.
39 quai de Loire, 75019, Paris
Ground Control
Le Ground control signe son grand retour jusqu’au 15 octobre dans un endroit incroyable : l’ancien dépôt SNCF de la Chapelle.Ce spot de 3000 m² est pour la première fois ouvert au grand public qui peut dès à présent investir les anciens rails, les quais de gare, les mythiques hangars à trains et des cours intérieures de la SNCF. L’occasion de profiter de nombreux concerts, d’un resto, d’un bar, d’un barber shop, de marchés mais aussi de 2000m² de friches à jardiner et bien d’autres activités en tout genre. Une multitude d’happenings inattendus viendront pimenter cette saison estivale qui s’annonce haute en couleur.
26 ter rue Ordener Paris 18 / Métro : Marcadet-Poissonniers / Ouverture à partir du 21 mai du mardi au dimanche jusqu’à 1h du matin
Le Café Cour
Un café chez ma tante ? Le Crédit municipal de Paris, spécialiste du prêt sur gage, transforme l’une de ses anciennes agences en café éphémère. La Cour Renaudot, vestige du XIIIe siècle, accueillera jusqu’au 27 septembre la terrasse du Café Cour. Cent cinquante places au calme, à l’ombre ou au soleil, protégées du tapage touristique de la rue des Francs-Bourgeois, dans le Marais. Plusieurs événements rythmeront l’été : on y fêtera la musique et le 14-Juillet et on pourra assister à des concerts et expositions autour d’une carte à base de produits bio (café à 1,90 €), de vins labellisés, de bières locales (3,90 € le demi) ou de cocktails durables._
55-57, rue des Francs-Bourgeois, 4e. Mo Rambuteau ou Hôtel de Ville.
(c) Marie Anne Stourm
Au fond du jardin
Difficile de comprendre ces gens qui se posent sur les terrasses des boulevards les plus bruyants de Paris. Ici, au moins, vous ne risquez pas de vous polluer le nez et les oreilles. Niché à l’arrière d’un restaurant de la rue Pelleport, Au fond du jardin est le spot (de moins en moins) secret du 20e arrondissement. Trois cents mètres carrés de cour à la coule, garnis de meubles de récup et de quelques transats, où l’on peut bosser tranquillement et laisser jouer les enfants sans risque pendant le repas. Les prix sont très corrects, avec un brunch “remasterisé” tendance bio à 17 euros le dimanche, le burger à 10 et le demi à 2,50. Rayon événementiel, Au fond du jardin organise aussi des marchés de créateurs, des concerts ou des expositions._
39, rue Pelleport, 20e. Mo Gambetta.
(c) Rachel Hipszman
Le O’Paris
Cent-huit mètres en montée, ça va. Arrivé en haut de la colline de Belleville, sur une petite place pavée, la terrasse du O’Paris offre une vue panoramique unique sur tout le sud de la capitale. À deux pas des pelouses vallonnées du parc de Belleville, le bar est souvent bondé mais ça vaut le coup de patienter. La carte propose de la cuisine française assez traditionnelle mais il vaut mieux y prendre un verre, avec le demi à 3 euros et la bouteille de vin à 15. Des concerts de jazz rythment parfois les fins d’après-midi._
1, rue des Envierges, 20e. Mo Belleville ou Pyrénées.
Le Garden Paris
Danser au soleil, c’est possible tous les dimanches de l’été, en sortant un peu de Paris. Pas trop loin, juste au bout de la ligne 5, à Bobigny, où s’est installé le Garden Paris. Un vaste open air (déjà squatté ces dernières années par les collectifs Berlinons Paris et l’Alter Paname) avec des grosses enceintes et une programmation à la pointe des musiques électroniques menée par les gars du label Cracki. Des transats et des brumisateurs sont prévus pour ceux qui veulent la jouer siesta, ainsi qu’une table de ping-pong, des jeux, un bar, des stands de nourriture, de tatouage ou de bodypainting, un marché vintage…_
197, rue de Paris, Bobigny (93). Mo Raymond Queneau. Tous les dimanches de midi à minuit. Entrée : 10-13 €.
Les Siestes électroniques
© musée du quai Branly, photo Cyril Zannettacci
Le festival le plus lent de France, les Siestes électroniques, revient pour la cinquième année à Paris dans le cadre de la programmation “Jardin d’été” du musée du Quai Branly. Cinq dimanches où l’on pourra se prélasser sur l’herbe en écoutant des mix aventureux à danser assis mais aussi des concerts. Parmi les artistes invités, Aïsha Devi (alias Kate Wax, une artiste signée sur Border Community) ouvrira le bal le 5 juillet, Animalsons, le producteur des premiers albums de Booba, jouera le 19, suivi de Para One (ex-TTC) le 26, avant de finir en beauté le 2 août avec Zaltan du label Antinote et les nouvelles stars de la pop française Frànçois & The Atlas Mountains._
Siestes électroniques, le dimanche du 5 juillet au 2 août, gratuit. Musée du Quai Branly, 27, quai Branly, 7e. Mo Iéna ou Pont de l’Alma.
Bateau Concorde Atlantique
Comme tous les ans, la terrasse du Concorde Atlantique devient l’un des spots privilégiés des Parisiens pour les apéros festifs. Cet été, la programmation du bateau situé face à l’Assemblée nationale a été piratée par des promoteurs de confiance, Free Your Funk et La Rafinerie. Ils investissent le ponton treize vendredis d’affilée avec des line-up qui mêleront hip hop et musiques électroniques (Acid Arab, Fakear, DJ Pone, Yuksek, Para One, Gilles Peteron…). Gratuit avant 22 h en mode burger/vin rosé, puis payant pour le club dans la cale. Ça démarre le 26 juin avec Miss Kittin et ses amis._
23 quai Anatole France, 7e. Mo Concorde ou Assemblée nationale.
Le Trinquet
Repaire des amateurs de rugby, le Trinquet est installé aux portes d’un terrain de pelote basque. Conclusion : on a beau être dans le 16e arrondissement, l’ambiance part très vite en mode feria de Bayonne. La gigantesque terrasse accueille des afterworks très prisés le jeudi, et désormais un barbecue en plein air le mercredi. C’est le chef de My Food Montreuil, Kobus Botha, l’homme au “braai” (le barbecue d’Afrique du Sud), qui régale avec son tournebroche, accompagné du barman du resto Death by Burrito pour les boissons._
8, quai St Exupéry, 16e. Mo Porte de Saint-Cloud.
(c) Elise Colette
La Recyclerie
(c) La Recyclerie
La Recyclerie, ce n’est pas une cantine, ni un bar, ni un atelier bricolage, ni une ferme urbaine, ni un espace collaboratif. Non La REcyclerie, c’est tout ça à la fois ! Rien n’est laissé au hasard dans cet eldorado des écolos : on ne gâche pas, on recycle, et on réutilise. Faire du consommateur un consom’acteur en s’appuyant sur les valeurs de l’économie circulaire (durabilité, proximité, écologie, et responsabilité) : voilà l’ambition d’un lieu unique en son genre, par sa polyvalence et son implication sans faille. Autre point très positif du lieu : le grand nombre de tables disposées à l’exterieur où verdure, potager, et animaux (poules, chèvres…) se mêlent aux couleurs froides de la gare désafectée offrant un contraste inédit. Vous pourrez ainsi déguster les produits locaux tout en profitant du soleil estival.
83 Boulevard Ornano, 75018, Paris / Metro Porte de Clignancourt
Le 43 Cocktail Bar
Le 43, on n’y va pas sur un coup de tête. Située sur le toit de l’hôtel Holiday Inn Paris Notre-Dame, au neuvième étage, la terrasse est accessible uniquement sur réservation (fb.notredame@hotels-res.com), et il faut généralement s’y prendre à l’avance. Et pour cause : le spot offre une vue magnifique sur les toits du Quartier latin, et bien au-delà. Le lieu, « ouvert en partenariat avec le beau temps », est aussi prisé pour sa carte de cocktails (à 14 euros, jus de fruits à 5 euros), qui recense éternels classiques et créations originales._
4, rue Danton, 6e. Mo Saint-Michel.
(c) Hugo Hebrard
Le Perchoir
C’est joli, c’est branché, on n’y mange pas trop mal, la vue est imprenable, mais est-ce que ça vaut le coup de se presser comme des citrons pendant des heures en bas de la rue ? Si vous avez décidé de céder à la hype, le mieux, c’est de venir tôt, avant le rush de 18 h, ou de réserver au restaurant, vous aurez la priorité. Là-haut, c’est vrai, vous vous sentirez un peu exceptionnel, parmi les cent élus du moment. Beaucoup, si vous avez attendu plus d’une heure. Passé 23 heures, si vous n’êtes pas encore entré, ça risque d’être un peu compliqué…_
14, rue Crespin-Dugast, 11e. Mo Oberkampf ou Parmentier.
Credit photo studio CUICUI AUDE BOISSAYE
Les Petites Gouttes
(c) Jules Hidrot
Cette année, la terrasse des Petites Gouttes, l’une des plus prisées du 18e arrondissement, prend une autre dimension. Les travaux ont fait émerger un bar extérieur, qui permet d’attendre plus patiemment qu’une place se libère. Outre l’ensoleillement maximum du lieu et les DJ’s qui ne demandent qu’à faire voler les chaises, il va se passer pas mal de choses cet été sur l’esplanade Nathalie Sarraute, avec des barbecues en musique tous les week-ends, l’Independence Day le 4 juillet, avec une démo de roller derby, ou encore le festival Top to Bottom consacré au street art et aux cultures urbaines fin septembre. S’il vous fallait encore une raison pour y aller…_
12, esplanade Nathalie Sarraute, 18e. Mo Marx-Dormoy.
Le Purple Bar, Hôtel du Collectionneur
L’Hôtel du Collectionneur, un 5-étoiles du 8e arrondissement – a son Purple Bar, tout de pourpre et d’or vêtu. Mais le Purple Bar a aussi sa terrasse, un joli espace végétalisé, avec seulement 25 places assises. Jusqu’au 30 septembre, le petit espace au grand air propose sous l’appellation “Héritage” une carte de cocktails exclusifs, conçus à partir des marques de Moët Hennessy. On consomme avec modération mais on s’initie aussi à des méthodes de mixologie étonnantes. Les mercredis et jeudis, on a en prime droit à des DJ sets (notamment ceux de Rudy Kobain, résident chez Castel) et les vendredis, à des live jazz._
51-57, rue de Courcelles, 8e. Mo Courcelles. De 10 h à 23 h.
Le Playtime
Ouvert en juillet 2014, le Playtime, péniche amarrée à la Cité de la mode et du design, compte une petite piscine et deux terrasses décorées de plantes exotiques, l’une à l’arrière du pont et l’autre au sommet du bateau. Au choix, on profite ainsi, en plein air, du bar et de ses gros fauteuils, ou du vaste restaurant. Là, les amateurs se pressent pour découvrir la carte de l’été 2015, confiée à Franck Baranger (Caillebotte, Pantruche), qui propose ici une conviviale cuisine de marché, faite sur place avec des ingrédients de saison, accompagnée d’une belle sélection de vins. De quoi rester amarré à l’endroit, d’autant que si l’on peut s’y installer toute la journée, on peut aussi y rester la nuit, puisque le soir venu, la cale se transforme en club._
34, quai d’Austerlitz, 13e. Mo et RER Austerlitz. Tous les jours à partir de midi.
(c) Le Playtime
Le toit terrasse de Molitor
Si la réouverture de la célèbre piscine parisienne et sa transformation en hôtel de luxe a fait couler beaucoup d’encre l’année dernière, il reste une option non négligeable à tenter et qui reste démocratiquement praticable : son toit-terrasse bucolique pour prendre un verre, déjeuner ou dîner façon plancha et barbecue. Une belle carte de cocktails, des assiettes à partager à l’heure de l’apéro, vous serez confortablement installés, avec en prime, la vue sur les toits de Paris plutôt imprenable. Côté tables, c’est le spectacle plongeant sur la piscine qui est au menu. Autre possibilité, à partir de 16 h : un tea-time d’un genre alléchant avec cocktails de fruits et douceurs. Sans oublier le brunch, servi uniquement le dimanche (de 12 h 30 à 17 h). A noter, onze œuvres de la sculptrice Nathalie Decoster ont été disséminées un peu partout sur la terrasse, une surprise arty qui vient surprendre le décor_
2, avenue de la Porte Molitor, 16e. Mo Porte d’Auteuil ou Michel-Ange-Molitor. Toit-terrasse ouvert jusqu’à l’automne, de 11 h à minuit. Réservation : 01 56 07 08 69.
(c) Frederic Baron-Morin
Le Faust
(c) Maxime Chermat
En quelques mois, le bar-restaurant-club s’est imposé comme l’un des spots les plus prisés pour voir et être vu dans l’Ouest parisien. Sa terrasse en bord de Seine sous le pont Alexandre III, qui donne sur le Grand Palais et la tour Eiffel, a beaucoup joué en sa faveur. Outre le brunch dominical qui pense aux parents en proposant des activités pour les enfants, le Faust laisse carte blanche toute la semaine à partir de 18 h à des organisateurs d’afterworks et à leurs DJ’s, avec notamment les apéros de la Barcaza et son bar à cocktails éphémère le vendredi._
Sous le pont Alexandre III, 7e. Mo Invalides.
Le Perchoir du Marais
Ce Perchoir-là est situé sur la terrasse du BHV Marais. On y accède après la fermeture du magasin pour profiter, jusqu’à 2 h du matin, d’une vue exceptionnelle en dégustant des cocktails et de bonnes petites choses à manger, sur fond de musique bien choisie. Cette année, la déco, bleue et blanche, lorgne vers le sud, et la carte est dans le même ton, méditerranéenne._
Entrée au 37, rue de la Verrerie, 4e. Mo Hôtel de Ville. À partir du 15 juin, tous les jours à partir de 20 h 15 (sauf le mercredi, à 21 h 15) jusqu’à 2 h. Le dimanche, de 12 h 30 à 2 h.
Festival Musiques en Terrasses à Bercy Village
Bercy Village ne manque pas de terrasses. Pour tirer parti de cet atout, l’endroit a eu l’idée d’un festival, dont ce sera cette année la troisième édition. Conçu en partenariat avec Petit Bain, l’événement proposera, du 7 juillet au 27 août, les mardis et les jeudis à 18 h 30, des concerts orientés pop et world, ou des “Petits bals du Monde”. Pour patienter, les kids (7-13 ans) auront droit le 10 juin de 16 h 30 à 18 h 30 à un “Petit Bain Douche”, soit un club en plein air rien que pour eux avant que la Fête de la musique n’inaugure officiellement les lieux le 21 juin._
Bercy Village, Cour Saint-Emilion, 12è. Mo Cour-Saint-Émilion. Gratuit.
Pavillon Puebla
Photo DR
Voilà un spot qui devrait faire parler, et tout l’été. Ancienne guinguette des Buttes-Chaumont, le Pavillon Puebla vivotait depuis des années au rythme de privatisations pour mariages et bar-mitsvah. Un bâtiment du début XIXe qui, depuis quelques jours, respire à nouveau.
Première à dégainer, l’équipe du restaurant du Dôme du Marais – Cédric Munier et Camille Genton – dégote une concession auprès de la Ville de Paris jusqu’en 2022 et s’associe au clan du Perchoir pour faire vibrer les Buttes. Laissée dans son jus, kitschouille à souhait, à base de tentures, de colonnes gothiques, le tout mixé à du mobilier chiné, l’intérieur fait encore rafistolé.
Plus glam, l’immense terrasse sous les arbres devrait rameuter tout Paris sur ses banquettes, sièges en rotin, salons de jardin chics et gazon synthétique, avec quelques mix home-made et hits de l’été pour faire danser jusque minuit, des cocktails (12 €) à boire comme du petit lait, et à la carte, focacce, planches de charcuterie, pasta et pizzas. Autre espace, promis lui aux privatisations, la terrasse marocaine s’ouvre de l’autre côté du Pavillon, avec matelas et voilures pour se bécoter.
Rompue aux critiques – accueil musclé, privatisations en grand nombre, files d’attente interminables… – à l’ouverture du Perchoir, l’équipe prévoit d’accueillir ici en plus grand nombre – près de 800 personnes chaque soir –, et vient de lancer un système de carte de membre coupe-file réservé aux fidèles des fidèles qui devrait encore faire jaser… En cas de saturation, reste l’option journée et une panoplie d’activités promises : yoga, spectacles de marionnettes pour enfants, concerts live et brunchs les week-ends.
Parc des Buttes Chaumont, entrée par le 43, avenue Simon Bolivar, 19e. Mo Buttes-Chaumont. Ouvert du mercredi au samedi de 16 h à 2 h, le dimanche de 14 h à minuit.